La sophrologie s’adresse aux personnes qui vont bien et qui souhaitent :

• se préparer à un changement, un projet, une opération, des examens,
• se mettre dans les meilleures conditions pour mobiliser toutes leurs ressources, optimiser leur potentiel, retrouver un meilleur équilibre physiologique, mental et émotionnel dans leur quotidien,
• mieux se connaitre, réinvestir leur vie et entreprendre une recherche de sens, une réflexion sur leur projet professionnel,

A celles aussi qui expriment

• un trop plein de tout,
• des troubles du sommeil, une grande fatigue,
• des difficultés à gérer leurs émotions,
• une perte de confiance en eux, en l’avenir,
• un refus d’accueillir, d’accepter un changement,
• des difficultés de concentration, de mémorisation,
• des angoisses,
• des difficultés à travailler en équipe, à se projeter, à créer,

Ou encore à celles qui vivent des acouphènes, des douleurs ou qui traversent une épreuve.

Le Professeur Alfonso Caycedo, fondateur de la sophrologie, compare l’allégorie de la caverne de Platon avec sa discipline.

L’allégorie (ou le mythe) de la caverne, est l’un des textes fondamentaux de la philosophie.

Platon y aborde des thèmes larges tels que la liberté, la vérité ou encore le réel. Il décrit des hommes enchaînés – de façon à ce qu’ils ne puissent bouger – au fond d’une caverne et ce depuis l’enfance. Ils n’aperçoivent que la lueur d’un feu situé derrière eux et les ombres d’objets sur une paroi. La caverne représente l’ignorance de l’homme, qui n’a pas accès à la connaissance réelle (la lumière du jour) mais seulement à une connaissance biaisée (la lueur et les ombres qu’il perçoit). L’apprentissage est symboliquement représenté par le moment où l’un des prisonniers est détaché et conduit vers la sortie. Il quitte alors un monde fait de lueurs et d’ombres pour un monde réel éclairé par le soleil. A.Caycedo explique que la sophrologie permet de se libérer de ses chaines, de sortir de la caverne et de prendre conscience des possibles.

« La chose la plus terrifiante est de s’accepter soi-même » C. G. Jung